7. L’emploi, l’économie & les commerces

Emploi & économie

Constats

La ville de Mons, située en région wallonne, connaît une économie en transition, marquée par un passé industriel et une réorientation vers de nouveaux secteurs. Historiquement, Mons était un centre névralgique de l’industrie charbonnière et de la métallurgie, mais avec le déclin de ces industries, la ville a dû diversifier son économie. Aujourd’hui, Mons mise sur des secteurs comme le numérique, les nouvelles technologies, et la culture pour revitaliser son tissu économique et créer de l’emploi local.

L’un des moteurs actuels de l’économie montoise est le développement du secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC). Le parc scientifique Initialis, situé à proximité de Mons, accueille des entreprises innovantes et des start-ups spécialisées dans le numérique, les biotechnologies et l’intelligence artificielle. Ce dynamisme est en partie soutenu par la présence de l’Université de Mons, qui contribue à la formation de talents qualifiés et au développement de la recherche appliquée, favorisant ainsi un écosystème propice à l’innovation.

Par ailleurs, Mons bénéficie d’un important rayonnement culturel, notamment depuis qu’elle a été désignée Capitale européenne de la culture en 2015. Cet événement a permis de relancer l’attractivité de la ville, avec des investissements dans les infrastructures culturelles et touristiques. Le secteur culturel est ainsi devenu un levier économique, attirant des visiteurs et créant des emplois dans les domaines du tourisme, de l’hôtellerie et de la restauration. Les retombées économiques de cette dynamique culturelle se font encore sentir aujourd’hui, renforçant la réputation de Mons comme destination culturelle.

Le secteur public joue également un rôle significatif dans l’économie de Mons. En tant que chef-lieu de la province de Hainaut, la ville accueille de nombreux services publics, y compris des administrations régionales et locales. Ces institutions sont de gros employeurs dans la région, offrant des emplois stables et soutenant l’économie locale. De plus, la présence d’installations militaires, comme le siège de l’OTAN (Shape) à proximité, contribue à l’économie locale par la création d’emplois directs et indirects.

Enfin, Mons doit encore faire face à des défis sur le plan de l’emploi, notamment en termes de reconversion des travailleurs issus des industries traditionnelles. Le taux de chômage reste élevé par rapport à la moyenne nationale, et la ville doit poursuivre ses efforts pour renforcer l’insertion professionnelle des jeunes et des travailleurs peu qualifiés. Les politiques locales visent à soutenir la formation continue, à encourager l’entrepreneuriat et à attirer de nouveaux investisseurs pour diversifier davantage l’économie. Cette transition économique est essentielle pour assurer un avenir prospère à Mons et ses habitants.

Nos propositions

Se fixer des objectifs en matière d’emploi et d’attractivité économique

Face à ce constat, Mons en Mieux a des objectifs clairs et précis sur l’avenir économique de la Ville, nous mettrons de nombreuses propositions en œuvre pour atteindre les objectifs suivants :

  • Redonner confiance aux entrepreneurs, démontrer que, sans entrave idéologique, le développement local est possible. Nous souhaitons créer des conditions optimales au développement de l’investissement privé ;
  • Rendre confiance aux diplômés, démontrer que leur avenir est possible localement pour y travailler mais aussi pour y vivre ;
  • Revenir à une saine gestion des finances afin de garantir les investissements nécessaires aux générations futures ;
  • Créer de l’emploi ;
  • Raccrocher les jeunes peu qualifiés ou en difficultés à la formation ou à l’emploi.

En matière d’emploi, il faut signaler qu’à Mons une personne sur deux en âge de travailler ne travaille pas (53%). En comparaison, le taux d’emploi des 20-64 ans atteignait 65,5% en Wallonie, 72,1% en Belgique et 74,6% en Europe. Nous devons au minima atteindre la moyenne wallonne d’ici 10 ans.

Repenser l’aménagement du territoire pour un développement économique harmonieux

À l’heure actuelle, des entreprises actives dans des secteurs « sédentaires », notamment dans le secteur digital, se trouvent localisées sur des zones d’activités économiques pourtant plus propices à accueillir des activités nécessitant du charroi et/ou sources de potentielles nuisances pour des riverains immédiats.

Mons en Mieux souhaite, en collaboration avec l’intercommunale IDEA, ramener certaines entreprises et activités économiques « sédentaires » dans les centres urbains de sorte à recréer un écosystème économique entreprises-travailleurs/travailleuses-commerçants/commerçantes vertueux.

Créer des zones franches

Mons en Mieux souhaite stimuler la relance économique et la création d’emplois par des charges et taxes plus légères pour les entreprises, particulièrement auprès des communes en grande difficulté où le taux de chômage est plus important, telles que Jemappes, Cuesmes et Flénu.

Il est important de favoriser la création d’emploi.

Mons en Mieux permettra la création de zones franches : des zones où les entreprises pourront s’installer pour développer de l’activité économique ou commerciale en bénéficiant de réductions ou d’abolition des charges et des taxes qui seront prises en charge par la Ville de Mons.

L’exemple de zone franche à Valenciennes est encourageant et est la preuve que cela fonctionne, même dans des situations socio-économiques peu favorables initialement.

Il est également indispensable de développer les zones de Geothermia et/ou du Puit 28 (Jemappes) en parallèle de l’implantation du nouvel hôpital, quel que soit le site retenu en favorisant l’implantation de PME et TPE dans des zones artisanales bien aménagées (proches des centres villes et arborées).

Instaurer une relation de partenariale entre la Ville et les dirigeants d’entreprises

Mons en Mieux souhaite veiller à l’instauration d’une vraie relation de partenariale entre les autorités communales et les dirigeants d’entreprise, notamment en organisant des rencontres régulières. Nous pensons utile de créer un comité d’experts et expertes regroupant des entrepreneurs moteurs régionaux.

Nous souhaitons créer, comme pour le commerce, un service unique dédié à tous les professionnels, qui centralise et gère le dossier et joue le rôle de facilitateur auprès des différentes parties prenantes (urbanisme, économique, fiscalité, AFSCA…), avec comme principe directeur : « Vous avez un projet, nous sommes à votre disposition pour le développer ensemble ».

La Ville travaillera main dans la main avec les acteurs publics (comme l’AWEX et l’IDEA) afin de démarcher les investisseurs extérieurs. Il faudra simplifier

Maintenir la Ville de Mons comme acteur majeur des différents évènements ayant lieu sur son territoire

La Ville de Mons doit se maintenir comme partenaire et acteur majeur des différents Salon de l’emploi et développer l’accueil de ces manifestations sur son territoire (SIEP, Jobs Days UCL, Défense, etc.).

La Ville de Mons mettra également, en toute transparence et à disposition de tout un chacun, une plateforme reprenant les emplois ouverts au sein des différentes administrations et institutions para-communales (CPAS, Intercommunales, ASBL, etc.) et redonnera un vrai rôle politique à l’échevin de l’emploi pour centraliser et contrôler toutes ces mesures.

Mons en Mieux souhaite également que la Ville continue de soutenir les différentes structures encadrant les étudiants-entrepreneurs ou néo-entrepreneurs (LME, Avomarc) ainsi que l’installation de lieux de type co-working en centre-ville.

Développer la communication de la Ville afin de stimuler des retombées économiques positives

Mons en Mieux souhaite développer la communication auprès de l’enseignement supérieur et de promotion sociale de la région pour stimuler et exposer les changements de politique des nouvelles autorités communales afin d’encourager les jeunes diplômés à travailler et vivre à Mons.

À cet égard, la Ville de Mons renforcera son implication au sein de l’Invest (IMBC) pour soutenir la création de spins-off en collaboration avec les facultés présentes sur le territoire.

Une politique proactive sera par ailleurs développée pour les primo-habitants via des incitants de mobilité et de consommation.

Renforcer la participation des entreprises locales dans les marchés publics

Mons en Mieux souhaite dorénavant inclure, par les moyens légaux et sans clientélisme, les entreprises locales dans les appels à marchés publics en simplifiant les cahiers des charges et en introduisant dans ceux-ci des clauses favorisant l’économie circulaire.

Commerces

Constats

Nous ne pouvons que constater depuis des années le déclin du commerce dans le piétonnier de l’intramuros de Mons.

Dans les autres entités qui composent notre ville, il n’existe aucun centre piétonnier convivial et les commerces ferment les uns après les autres notamment à Jemappes et à Cuesmes.

Les causes sont nombreuses, notamment l’arrivée de nouveaux centres commerciaux en périphérie, la perte d’une clientèle avec un pouvoir d’achat suffisant, le développement du commerce en ligne et la suppression de nombreuses places de stationnement par la majorité PS/écolo.

Depuis la fin des années 90, la zone de chalandise du Centre-Ville s’est réduite à peau de chagrin. À l’heure actuelle, elle est de 10km. Pour augmenter le nombre de clients du centre-ville, il faut donc augmenter le nombre d’habitants dans cette zone.

Fort de ce constat certes peu radieux, Mons en Mieux souhaite faire revenir en intra-muros et dans les nouvelles zones piétonnes des entités, des commerces de qualité dont la taille, le type d’activités, de produits et de services peuvent être complémentaires.

Nos propositions

Instaurer une relation de confiance entre les commerçants, les entreprises et les autorités communales

Il nous parait indispensable d’instaurer une relation de confiance entre les commerçants, les entreprises, et les autorités communales via des réunions de concertations bien gérées afin de développer une relation de partenaires et non d’autorité avec les associations de commerçants.

Revoir le mécanisme du fond d’impulsion et des maternités commerciales

Afin de développer une politique commerciale efficace et à plus long terme, nous reverrons notamment le mécanisme du fond d’impulsion (nouveaux commerces uniquement, 3 ans maximum) pour l’étendre à la rénovation des commerces déjà bien établis, reverrons la durée en fonction des objectifs et inclurons les franchisés indépendants.

Une personne indépendante rémunérée aux résultats sera chargée du choix des dossiers à présenter devant le Conseil communal.

Suppression de la taxe sur les enseignes

Nous supprimerons la taxe sur les enseignes pour tous les commerçants. Celle-ci sera financée par l’arrêt de la politique d’achat insensée de bâtiments commerciaux et la revente de ceux déjà achetés et actuellement à l’abandon. En mai 2024, seul un bâtiment sur 14 était occupé.

Refonte de la taxe immondices

En collaboration avec l’HYGEA, une réflexion sera portée sur la taxe immondices pour les entreprises disposant d’une gestion externalisée des déchets ou dont l’activité n’est pas ou peu productrice de déchets.

Dans le même esprit, les associés ou indépendants travaillant sur le même site ou bâtiment ne devront plus payer cette taxe séparément mais de manière partagée.

Valoriser les commerçants et indépendants des villages du Grand’Mons

Les 19 sections du Grand’Mons ont la chance de bénéficier encore de commerçantes, commerçants, indépendantes et indépendants qui proposent des produits et des services de qualité. Malheureusement, ils n’ont pas toujours tous les outils pour se faire connaître en dehors de leur village.

Nous souhaitons former les commerçants à la communication. La publicité des Prix Mercure, du Mons Mag et des réseaux sociaux de la Ville sera également amplifiée au bénéfice de ces derniers.

Une brochure spécifique par village ou groupe de villages sera éditée afin de faire connaître les talents proches de chez nous.

Une Gestion Centre-Ville en appui aux commerçants

L’association “Gestion Centre-Ville” sera réformée en profondeur pour redevenir une réelle agence d’appui aux commerces. En effet, ses dépenses ont plus que triplé ces 6 dernières années et les tâches confiées aux agents ne sont pas toujours pertinentes (distribution de flyers, installations de décorations, ramassage des ordures,…).

L’agence tiendra également un cadastre à jour des zones commerciales pour fournir les informations en open data pour Mons, Jemappes et Cuesmes. Ces deux dernières sections bénéficieront d’un référent au sein de l’agence reformée.

L’organisation du marché de Noël sera rendue plus transparente, notamment sur l’affectation des bénéfices de ce dernier.

Une réflexion globale sur les marchés

Nous entamerons une réflexion pour le retour du marché aux fleurs du vendredi sur la Grand-Place.

Concernant les marchés hebdomadaires, une concertation avec les ambulants et les habitants concernant les dates et horaires sera organisée afin de redynamiser les marchés de Jemappes et Cuesmes et de relancer celui de Flénu (jours et heures d’ouvertures, producteurs locaux, commissariat mobile, diversification,…). La pérennité des autres marchés hebdomadaires fera également l’objet d’une attention particulière.

La sécurité renforcée au Marché aux Herbes et sur la Place de la Gare

Au niveau du Marché aux Herbes et de la Place de la Gare, un focus sera mis sur la sécurisation de la place via la mise en place d’une plateforme réunissant les commerçants, les comités étudiants, le parquet et les services de la Ville.

Des commerces plus accessibles

La politique de stationnement de la Ville doit tenir compte de la nécessité d’attirer les clients et clientes auprès des commerces. Le stationnement 30 minutes gratuites sera maintenu. De nouvelles places seront créées selon les besoins.

Dans le cadre d’une révision du plan de mobilité global, nous estimons utile d’intégrer une navette permanente entre l’hyper centre et le parking des Grands Prés afin de permettre aux visiteurs du centre commercial de découvrir la ville.

Introduire des changements concernant l’administration communale

Mons en Mieux souhaite favoriser l’accueil des nouveaux investisseurs petits ou grands en :

  • Adoptant une approche stratégique conviviale orientée « développement local » au sein de l’administration qui ne doit plus considérer les porteurs de projets comme « suspects » mais plutôt comme des partenaires. Ainsi, à l’instar de ce qui se met en place au niveau régional (fast track), une personne ressource sera désignée pour être l’interlocuteur unique des porteurs de projet pour faciliter l’ensemble de leurs démarches administratives auprès de la Ville. Cela se fait en :
    • appliquant une politique bienveillante envers les professionnels tout en faisant respecter les règles du bien commun sans passe-droit ni clientélisme ;
    • acceptant d’étudier des projets innovants et/ou alternatifs même si ces projets ne rentrent pas dans les « cases » classiques ;
    • faisant preuve de bienveillance sur le plan urbanistique lorsque le projet apporte une plus-value à la collectivité même s’il sort des sentiers battus.
Adopter une politique fiscale adaptée

Afin de stimuler le développement de commerces, Mons en Mieux plaide pour la création de zones franches dans certaines entités délaissées sur le plan économique (Jemappes, Flénu…).

Mettre en œuvre une politique commerciale globale

Mons en Mieux attache une grande importance au développement commercial, mais celui-ci ne peut se produire que si la Ville adopte une politique commerciale globale (intégrée dans le cadre du schéma de développement du territoire (SDT) comme celle-ci :

  • élaborer un plan de développement commercial avec une vision d’ensemble des 19 communes et des zones concurrentes/partenaires proches ;
  • intervenir dans la négociation des loyers et la recherche de locaux adaptés aux nouvelles activités (cf. guichet unique) ;
  • favoriser l’installation d’artisans dans des locaux « communautaires » en colocation ;
  • favoriser le développement des associations et des projets de particuliers dans l’économie du partage et/ou innovante ;
  • favoriser une ouverture nocturne, à date fixe dans le mois, des commerces des centres-villes pas nécessairement le vendredi (par exemple, le même jour que l’ouverture en soirée des administrations) ;
  • réaliser une publicité active pour attirer de nouveaux commerces tant dans les milieux spécialisés des grandes enseignes que par une communication destinée à la population pour favoriser l’émergence de projets nouveaux ;
  • contacter les grands groupes pour négocier leur (ré)installation dans les centres (intramuros et certaines entités) et ce malgré l’échec antérieur de certains essais en analysant les causes de ces échecs et en tenant compte des changements de paradigmes envisagés ;
  • réintroduire du logement, des entreprises et des infrastructures dans le Centre-Ville.
Envisager la couverture partielle du piétonnier

Nous souhaitons lancer un concours d’architecture via un portefeuille FEDER visant à la couverture partielle du piétonnier. Nous travaillerons également à rendre l’accès aux étages possible.

Anticiper le choc pour le commerce à Jemappes que constitue la construction du nouvel hôpital

Mons en Mieux ne soutient pas la construction du nouvel hôpital Helora à Jemappes. Toutefois, si cela devait se réaliser, il est impératif de préparer un plan de mobilité autour du R5 et du N51 (Mons Jemappes). Avec les travaux du futur hôpital et la possible mise en place du Bus à haut niveau de service (BHNS) entre Jemappes et le Borinage, plusieurs années de perturbations sont à prévoir. Il faut donc anticiper et prévoir des itinéraires alternatifs via Ghlin et en concertation avec Quaregnon, Frameries et le SPW.

Augmenter le nombre d’habitants dans la zone de chalandise du centre-ville

Mons en Mieux veut permettre et encourager le logement unifamilial au sein de bâtiments laissés vides depuis des mois voire des années. Augmenter le nombre d’habitants dans la zone de chalandise du centre-ville est essentiel pour dynamiser l’économie locale et revitaliser le cœur urbain. Cela peut être réalisé en développant de nouveaux logements accessibles, en rénovant des espaces vacants et en favorisant des projets immobiliers mixtes qui combinent habitation, commerce et services. En attirant plus de résidents dans cette zone, on stimule directement l’activité des commerces de proximité, tout en renforçant la vie sociale et culturelle du centre-ville. De plus, une population locale plus dense contribue à la sécurité, à l’animation quotidienne et à la durabilité des infrastructures urbaines, créant un cercle vertueux de développement.

Évaluer la pertinence du maintien des petits centres commerciaux en périphérie

Si nous disposons de trop de surfaces commerciales à la suite de l’implantation de nombreux petits centres commerciaux à la périphérie de Mons (Portes de Maisières, Zone commerciale d’Hyon, Ghlin, extension des grands prés), nous devons repenser la destination de ces lieux en les transformant en logements de qualité afin d’accroitre notre nombre d’habitants.

Évaluer la pertinence du maintien des petits centres commerciaux en périphérie implique d’analyser leur impact sur l’économie locale, les habitudes de consommation et l’aménagement du territoire. Ces centres commerciaux peuvent répondre à des besoins spécifiques des habitants des zones périphériques, en offrant un accès facile à des biens et services de base sans nécessiter de déplacement vers le centre-ville. Toutefois, il est crucial de vérifier s’ils ne nuisent pas au dynamisme des commerces du centre-ville ou contribuent à l’étalement urbain, entraînant des effets négatifs sur la mobilité et l’environnement. Une évaluation rigoureuse permettrait de déterminer si ces centres commerciaux doivent être restructurés, maintenus ou intégrés dans une stratégie globale visant à équilibrer développement économique et durabilité urbaine.

Nous devons ainsi favoriser la transformation progressive des centres commerciaux périphériques en zones de commerces dédiés à l’équipement de la maison qui nécessitent de grandes surfaces (cuisine, literie, meubles, bricolage, …) et inciter le rapatriement des plus petits commerces dans le(s) centre(s) rénové(s).

Il ne faut plus accepter l’implantation de grandes surfaces de commerce dans des centres commerciaux périphériques isolés de tout habitation et voués de toute façon à disparaître pour favoriser des surfaces plus modestes au milieu des zones d’habitats (dans les centres et certains quartiers densément peuplés).

Se porter candidat pour accueillir un casino

Mons en Mieux souhaite que la Ville de Mons se porte candidate auprès de la Commission des jeux de hasard (CJH) afin d’accueillir un complexe casino sur le territoire montois. L’exemple de la capitale wallonne Namur qui a développé en sus du casino un hôtel et un restaurant serait privilégié et permettrait de créer environ 350 emplois.

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